3 janvier 2005
finir les chocolats
Tout n'est pas encore rangé, il y a encore des restes de fêtes, des
indices qui traînent, pas besoin d'être Sherlock pour savoir ce qui
s'est tramé ces derniers temps dans les environs. Des gens ont commis
des choses. Ils se sont mis d'accord avant, et froidement,
délibérément, se sont retrouvés, de ci, de là, sans la moindre arrière
pensée. Et il faut bien voir les choses en face: ils ont fait la fête.
Oh, pas toujours dans le délire hystérique, pas toujours dans les fièvres à neuneu qui sont les grand'messes consuméristes de fin d'année, sans excès rock'n'roll systématiques, mais, en ce qui me concerne, avec une spontanéité inattendue et une humanité qui sont précieuses. Les gens qu'on a vus, on les a bien vus, on était tous contents de se retrouver, on a passé de bons moments ensemble, avec les yeux qui pétillent pour le dire, et on s'en repart sans regret. Il reste des indices, des bouts de choses ramenés, offerts, pas finis de baffrer, des chocolats, quoi. Des trucs à qui j'avais promis qu'ils ne verraient pas 2005, mais bon, ils étaient trop nombreux, les bougres. Je me suis battu comme un lion, mais certains ont passé l'année.
Ils ne connaîtront de cette année que quelques jours, ceci dit. Je suis gentil mais inflexible, on ne badine pas avec les principes et l'un des miens est : un chocolat de Noël ne doit pas mourir de vieillesse.
Oh, pas toujours dans le délire hystérique, pas toujours dans les fièvres à neuneu qui sont les grand'messes consuméristes de fin d'année, sans excès rock'n'roll systématiques, mais, en ce qui me concerne, avec une spontanéité inattendue et une humanité qui sont précieuses. Les gens qu'on a vus, on les a bien vus, on était tous contents de se retrouver, on a passé de bons moments ensemble, avec les yeux qui pétillent pour le dire, et on s'en repart sans regret. Il reste des indices, des bouts de choses ramenés, offerts, pas finis de baffrer, des chocolats, quoi. Des trucs à qui j'avais promis qu'ils ne verraient pas 2005, mais bon, ils étaient trop nombreux, les bougres. Je me suis battu comme un lion, mais certains ont passé l'année.
Ils ne connaîtront de cette année que quelques jours, ceci dit. Je suis gentil mais inflexible, on ne badine pas avec les principes et l'un des miens est : un chocolat de Noël ne doit pas mourir de vieillesse.
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